L'Armée du Tofu Rose
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A l'image de ce poisson rouge, l'Armée du Tofu Rose est morte. Telle une mouche déposant ses oeufs putrides dans les animaux morts, rendez lui hommage en lancant un petit topic à flood en espérant qu'il eclose et donne pleins de petits posts floodesques, comme au bon vieux temps.
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Boo
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 Parler en kikou

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Neo-Ladague
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MessageSujet: Parler en kikou   Parler en kikou Icon_minitimeSam 13 Avr 2013, 15:48

Je refais 1 apparition éphémère pr vous signaler ke jet quelque peu modifié la censure des mots sur le forum et il n'et donc plut possible désormais d'écrire 1 seule phrase correctement. J'en appelle au admins à rajouter encore plut de mots censurés pr le délire le plut total.

Je certifie avoir écrit ce message sans 1 seule faute d'orthographe.
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MessageSujet: Re: Parler en kikou   Parler en kikou Icon_minitimeMer 17 Avr 2013, 08:42

kel enfoiré ! Condamné à vie à parlé kom un kikou !
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Neo-Ladague
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MessageSujet: Re: Parler en kikou   Parler en kikou Icon_minitimeJeu 18 Avr 2013, 17:10

olol tu c'est pa écrir !
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MessageSujet: Re: Parler en kikou   Parler en kikou Icon_minitimeSam 04 Mai 2013, 18:42

Neo t'es un génie <3
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MessageSujet: Re: Parler en kikou   Parler en kikou Icon_minitimeSam 04 Mai 2013, 19:17

envoyé nous du gro flood kon puisse amélioré le dispositif
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MessageSujet: Re: Parler en kikou   Parler en kikou Icon_minitimeDim 05 Mai 2013, 20:08

On remonta sur le pont après dîner. Devant nou, la Méditerranée n'avait pa un frisson sur toute sa surface k grande lune calme moirait. Le vaste bateau glissait, jetant sur le ciel, qui semblait ensemencé d'étoiles, un gro serpent de fumée noire ; et, derrière nou, l'eau toute blanche, agitée par le passage rapide du lourd bâtiment, battue par l'hélice, moussait, semblait se tordre, remuait tant de clartés k eût dit de la lumière de lune bouillonnant.
nouétions là, six ou huit, silencieux, admirant, l'oeil tourné vers l'Afrique lointaine où nou allions. Le commandant, qui fumait un cigare au milieu de nou, reprit soudain la conversation du dîner.
- Oui, jet eu peur ce jour-là. Mon navire et resté six heures ac ce rocher dent le ventre, battu par la mer. Heureusement ke nou avons été recueillis, vers le soir, par un charbonnier anglais qui nou aperçut.
Alors un grand homme à figure brûlée, à l'aspect grave, un de ces hommes k sent avoir traversé de longs pays inconnus, au milieu de dangers incessants, et dont l'oeil tranquille semble garder, dent sa profondeur, quelque chose dé paysages étranges k a vus ; un de ces hommes k devine trempés dent le courage, parla pr la première fois :
- Vous dites, commandant, ke vous avez eu peur ; je n'en crois ri1. Vous vous trompez sur le mo et sur la sensation ke vous avez éprouvée. Un homme énergique n'a jamais peur en face du danger pressant. Il et ému, agité, anxieux ; mes la peur, c'et autre chose.
Le commandant reprit en riant :
- Fichtre ! je vous réponds bien ke jet eu peur, moa.
Alors l'homme au teint bronzé prononça d'1 voix lente :
- Permettez-moa de m'expliquer ! La peur (et lé hommes lé plut hardis peuvent avoir peur), c'et quelque chose d'effroyable, 1 sensation atroce, kom 1 décomposition de l'âme, un spasme affreux de la pensée et du cœur, dont le souvenir seul donne dé frissons d'angoisse. mes cela n'a lieu, quand on et brave, ni devant 1 attaque, ni devant la mort inévitable, ni devant toutes lé formes connues du péril : cela a lieu dent certaines circonstances anormales, sous certaines in fluences mystérieuses en face de risques vagues. La vraie peur, c'et quelque chose kom 1 réminiscence dé terreurs fantastiques d'autrefois. Un homme qui croit aux revenants, et qui s'imagine apercevoir un spectre dent la nuit, doit éprouver la peur en toute son épouvantable horreur.
moa, jet deviné la peur en plein jour, il y a dix ans environ. Je l'ai ressentie, l'hiver dernier, par 1 nuit de décembre.
Et, pourtant, jet traversé bien dé hasards, bien dé aventures qui semblaient mortelles. Je me sui battu souvent. jet été laissé pr mort par dé voleurs. jet été condamné, kom insurgé, à être pendu, en Amérique, et jeté à la mer du pont d'un bâtiment sur lé côtes de Chine. Chaque fois je me sui cru perdu, j'en ai pris immédiatement mon parti, sans attendrissement et même sans regrets.
mes la peur, ce n'et pa cela.
Je l'ai pressentie en Afrique. Et pr tant elle et fille du Nord ; le soleil la dissipe kom un brouillard. Remarquez bien ceci, Messieurs. Chez lé Orientaux, la vie ne compte pr ri1 ; on et résigné tout de suite ; lé nuits sont claires et vides dé inquiétudes sombres qui hantent lé cerveaux dent lé pays froids. En Orient, on peu connaître la panique, on ignore la peur.
Eh bi1! voici ce qui m'et arrivé sur cette terre d'Afrique :
Je traversais lé grandes dunes au sud de Ouargla. C'et là un dé plut étranges pays du monde. Vous connaissez le sable uni, le sable droit dé interminables plages de l'Océan. Eh bi1! figurez-vous l'Océan lui-même devenu sable au milieu d'un ouragan ; imaginez 1 tempête silencieuse de vagues immobiles en poussière jaune. Elles sont hautes kom dé montagnes, ces vagues inégales, différentes, soulevées tout à fait kom dé flots déchaînés, mes plut grandes encore, et striées kom de la moire. Sur cette mer furieuse, muette et sans mouvement, le dévorant soleil du sud verse sa flamme implacable et directe. Il fo gravir ces lames de cendre d'or, redescendre, gravir encore, gravir sans cesse, sans repos et sans ombre. lé chevaux râlent, enfoncent jusqu'aux genoux, et glissent en dévalant l'autre versant dé surprenantes collines.
nouétions deux amis suivis de huit spahis et de quatre chameaux ac leurs chameliers. nou ne parlions plut, accablés de chaleur, de fatigue, et desséchés de soif kom ce désert ardent. Soudain un de nos hommes poussa 1 sorte de cri ; tous s'arrêtèrent ; et nou demeurâmes immobiles, surpris par un inexplicable phénomène, connu dé voyageurs en ces contrées perdues.
Quelque part, près de nou, dent 1 direction indéterminée, un tambour bat tait, le mystérieux tambour dé dunes ; il battait distinctement, tantôt plut vibrant, tantôt affaibli, arrêtant, puis reprenant son roulement fantastique.
lé Arabes, épouvantés, se regardaient ; et l'un dit, en sa langue : "La mort et sur nou". Et voilà ke tout à coup mon compagnon, mon ami, presque mon frère, tomba de cheval, la tête en avant, foudroyé par 1 insolation.
Et pendant deux heures, pendant ke j'essayais en vain de la sauver, toujours ce tambour insaisissable m'emplissait l'oreille de son bruit monotone, intermittent et incompréhensible ; et je sentais glisser dent mes os la peur, la vraie peur, la hideuse peur, en face de ce cadavre aimé, dent ce trou incendié par le soleil entre quatre monts de sable, tandis ke l'écho inconnu nou jetait, à deux cents lieues de tout village français, le battement rapide du tambour.
Ce jour-là, je kompri ce ke sétais ke d'avoir peur ; je l'ai su mieux encore 1 autre fois…
Le commandant interrompit le conteur :
— Pardon, Monsieur, mes ce tambour ? kétait-ce ?
Le voyageur répondit :
— Je n'en c'est ri1. Personne ne ses. lé officiers, surpris souvent par ce bruit singulier, l'attribuent généralement à l'écho grossi, multiplié, démesurément enflé par lé vallonnements dé dunes, d'1 grêle de grains de sable emportés dent le vent et heurtant 1 touffe d'herbes sèches ; car on a toujours remarqué ke le phénomène se produit dent le voisinage de petites plantes brûlées par le soleil, et dures kom du parchemin.
Ce tambour ne serait donc k sorte de mirage du son. Voilà tout. mes je n'appris cela ke plut tard.
J'arrive à ma seconde émotion.
sétais l'hiver dernier, dent 1 forêt du nord-et de la France. La nuit vint deux heures plut tôt, tant le ciel était sombre. J'avais pr guide un paysan qui marchait à mon côté, par un tout pti chemin, sous 1 voûte de sapins dont le vent déchaîné tirait dé hurlements. Entre lé cimes, je voyais courir dé nuages en déroute, dé nuages éperdus qui semblaient fuir devant 1 épouvante. Parfois, sous 1 immense rafale, toute la forêt s'inclinait dent le même sens ac un gémissement de souffrance ; et le froid m'envahissait, malgré mon pa rapide et mon lourd vêtement.
nou devions souper et coucher chez un garde forestier dont la maison n'était plut éloignée de nou. J'allais là pr chasser.
Mon guide, parfois, levait lé yeux et murmurait : « Triste t'en ! ». Puis il me parla dé gens chez qui nou arrivions. Le père avait tué un braconnier deux ans auparavant, et, depuis ce t'en, il semblait sombre, kom hanté d’un souvenir. ces deux fils, mariés, vivaient ac lui.
lé ténèbres étaient profondes. Je ne voyais ri1 devant moa, ni autour de moa, et toute la branchure dé arbres entrechoqués emplissait la nuit d’1 rumeur incessante. Enfin, j’aperçus 1 lumière, et bientôt mon compagnon heurtait 1 porte. dé cris aigus de femmes nou répondirent. Puis, 1 voix d’homme, 1 voix étranglée, demanda : "Qui va là ?". Mon guide se nomma. nou entrâmes. Ce fut un inoubliable tableau.
Un vieil homme à cheveux blancs, à l’oeil fou, le fusil chargé dent la main, nou attendait debout au milieu de la cuisine, tandis ke deux grands gaillards, armés de haches, gardaient la porte. Je distinguai dent lé coins sombres deux femmes à genoux, le visage caché contre le mur.
On s’expliqua. Le vieux remit son arme contre le mur et ordonna de préparer ma chambre ; puis, kom lé femmes ne bougeaient point, il me dit brusquement :
- Voyez-vous, Monsieur, jet tué un homme, voilà deux ans, cette nuit. L'autre année, il et revenu m'appeler. Je l'attends encore ce soir.
Puis il ajouta d'un ton qui me fit sourire :
- Aussi, nou ne sommes pa tranquilles.
Je le rassurai kom je pus, heureux d'être venu justement ce soir-là, et d'assister au spectacle de cette terreur superstitieuse.
Je racontai dé histoires, et je parvins à calmer à peu près tout le monde.
Près du foyer, un vieux chien, presque aveugle et moustachu, un de ces chiens qui ressemblent à dé gens k connaît, dormait le nez dent ces pattes.
Au-dehors, la tempête acharnée battait la petite maison, et, par un étroit carreau, 1 sorte de judas placé près de la porte, je voyais soudain tout un fouillis d'arbres bousculés par le vent à la lueur de grands éclairs.
Malgré mes efforts, je sentais bien k terreur profonde tenait ces gens, et chaque fois ke je cessais de parlé, toutes lé oreilles écoutaient au loin. Las d'assister à ces craintes imbéciles, j'allais demander à me coucher, quand le vieux garde tout à coup fit un bond de sa chaise, saisit de nouvo son fusil, en bégayant d'1 voix égarée : "Le voilà ! le voilà ! Je l'entends !". lé deux femmes retombèrent à genoux dent leurs coins en se cachant le visage ; et lé fils reprirent leurs haches. J'allais tenter encore de lé apaiser, quand le chien endormi s'éveilla brusquement et, levant sa tête, tendant le cou, regardant vers le feu de son oeil presque éteint, il poussa un de ces lugubres hurlements qui font tressaillir lé voyageurs, le soir, dent la campagne. Tous lé yeux se portèrent sur lui, il restait maintenant immobile, dressé sur ces pattes kom hanté d'1 vision, et il se remit à hurler vers quelque chose d'invisible, d'inconnu, d'affreux sans doute, car tout son poil se hérissait. Le garde, livide cria : "Il le sent ! il le sent ! il était là quand je l'ai tué". Et lé deux femmes égarées se mirent, toutes lé deux, à hurler ac le chien.
Malgré moa, un grand frisson me courut entre lé épaules. Cette vision de l'animal dent ce lieu, à cette heure, au milieu de ces gens éperdus, était effrayant à voir.
Alors, pendant 1 heure, le chien hurla sans bouger ; il hurla kom dent l'angoisse d'un rêve ; et la peur, l'épouvantable peur entrait en moa ; la peur de koi ? Le c'est-je ? sétais la peur, voilà tout.
nou restions immobiles, livides, dent l'attente d'un événement affreux, l'oreille tendue, le cœur battant, bouleversés au moindre bruit. Et le chien se mit à tourner autour de la pièce, en sentant lé murs et gémissant toujours. Cette bête nou rendait fous ! Alors, le paysan qui m'avait amené, se jeta sur elle, dent 1 sorte de paroxysme de terreur furieuse, et, ouvrant 1 porte donnant sur 1 petite cour jeta l'animal dehors.
Il se tut aussitôt ; et nou restâmes plongés dent un silence plut terrifiant encore. Et soudain tous ensemble, nou eûmes 1 sorte de sursaut : un être glissait contre le mur du dehors vers la forêt ; puis il passa contre la porte, k sembla tâter, d'1 main hésitante ; puis on n'entendit plut ri1 pendant deux minutes qui firent de nou dé insensés ; puis il revint, frôlant toujours la muraille ; et il gratta légèrement, kom ferait un enfant ac son ongle ; puis soudain 1 tête apparut contre la vitre du judas, 1 tête blanche ac dé yeux lumineux kom se dé fauves. Et un son sortit de sa bouche, un son indistinct, un murmure plaintif.
Alors un bruit formidable éclata dent la cuisine. Le vieux garde avait tiré. Et aussitôt lé fils se précipitèrent, bouchèrent le judas en dressant la grande table k assujettirent ac le buffet.
Et je vous jure k fracas du coup de fusil ke je n'attendais point, j'eus 1 telle angoisse du cœur, de l'âme et du corps, ke je me sentis défaillir, prêt à mourrirre de peur.
nou restâmes là jusqu'à l'aurore, incapables de bouger, de dire un mo, crispés dent un affolement indicible.
On n'osa débarricader la sortie k apercevant, par la fente d'un auvent, un mince rayon de jour.
Au pied du mur, contre la porte, le vieux chien gisait, la gueule brisée d'1 balle. Il était sorti de la cour en creusant un trou sous 1 palissade.
L'homme au visage brun se tut ; puis il ajouta :
- Cette nuit-là pourtant, je ne courus aucun danger ; mes j'aimerais mieux recommencer toutes lé heures où jet affronté lé plut terribles périls, ke la seule minute du coup de fusil sur la tête barbue du judas.
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MessageSujet: Re: Parler en kikou   Parler en kikou Icon_minitimeLun 06 Mai 2013, 11:36

fé péter la suite le suspense et tro insoutenaaaable
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MessageSujet: Re: Parler en kikou   Parler en kikou Icon_minitimeLun 06 Mai 2013, 15:08

Non mes c'et fini à ce moment-là !
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MessageSujet: Re: Parler en kikou   Parler en kikou Icon_minitime

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